• Par - Admin

 Tout ce que nous observons sur notre planète peut interprété suivant ce principe du Grand Initié Hermès Trimégiste: “Rien ne reste statique, tout se meut, tout se vibre”1. Perçus sur cet angle, La Mondialisation, les Conflits Internationaux et leurs Impacts sont les résultats accumulés des actions tant positives d’une part et des réactions tant négatives d’autre part.

La Mondialisation peut être comparée à une immense toile d’arraignée qui s’est tissée comme des fils entrelassés au cours des ans pour ne pas dire des siècles ou des millénaires. Sur cet angle là, le sousbassement qui constituerait l’essence de La Mondialisation peut être remontée ou retracée dépuis l’antiquité, s’est ramifié et adapté aux progrès des grandes formules et théories mathématiques, physiques, astrophysiques desquelles ont découlé de Nouvelles inventions mécaniques, techniques, et technologiques, pour atteindre le niveau telque nous la connaissons aujourd’hui. De l’usage du papyrus à l’invention du papier à écrire et à l’imprimerie, de la création de la machine à tapper sur un clavier à celle d’un ordinateur sur un ‘keyboard’, de la révolution informatique via l’internet par l’usage des satélites, etc…, tout nous amène à la Mondialisation. La connection via l’internet, la télécommunication transnationale, le téléphone portable, apparamment le monde devient un “Grand Village”. L’impact positif, serait de mettre à la disposition de tous, les informations nécéssaires, et si, utilisant ces informations à bon escient, la condition de la vie des gens, se changerait à différent niveaux. Le noeuf-gordien demeure, cependant, pour les pays dits ‘pays pauvres’ qui n’ont pas encore les infrastructures mises en place, ils ne pourront pas bénéficier tous les effets bénéfiques. L’impact néfaste est donc l’aggrandissment demesuré et continu, à tous les niveaux, des écarts entre les pays structurés et nonstructurés. Mentionnons que les données sur la vie privée des gens, des institutions, des compagnies, etc… sont achallendées, se font avec aisence et se vendent sur le ‘marché digitalisé’ comme de petits pains chaux. Donc la vulnérabilité de l’économie des pays nous rend tous perplexes (à l’exeptions, peut etre, des pirates professionnels).

 Aussi, les conflits socio- politiques, économiques, et religieux ne datent pas d’hier, La quette pour l’hégémonie, qu’elle eut été prise pour l’appropriation des zones géographiques de ressources naturelles, de commerce des importations et d’exportations, ou stratégiques, elle est aussi vielle que notre propre évolution. Les impacts de ces mouvements qui affectent notre existence quotidienne d’une facon ou d’une autre, demeurent trop souvant trop abstraits pour être appréhandés. De la construction des routes de marchés de soies, des épices, de tissues au dos chamaux des caravanes dans certaines régions géographiques d’Asie et d’Afrique, à celle des autoroutes, des expressways, des voies férrées transnationales, la révolution industrielle, l’aviation, les voies aériennes nationales, transnationales, continentales et transcontinentales, de l’exploration des routes maritimes commerciales locales, transatlantiques, transpacifiques, et transasiatiques tous ont contribué à rapprocher les gens, à faciliter les échanges des produits, le tourisme, etc..

De la maitrise et l’usage du feu (de l’eau et l’air) à l’époque paléotique (peut être) à l’usage des poudres à canon pour fabriquer des armes automatiques reléguant aux calandres les flèches de bois à pointes aiguisées; de l’animisme au créationisme, du sophisme à l’évolutionisme, du mercantilisme au capitalisme, du matérialisme à l'existentialisme, du communism ou socialisme, le monde n’a jamais céssé d’être un champ permanent de conflits idéologiques et religieux desquels sont dérivées des guèrre de proximité et des guèrre internationales. De l’histoire générale de l’antiquité la plus rapprocée de notre ère à l’histoire générale moderne et contemporaine, l’engouement pour la dominance hégémonique n’a jamais été assouvi. Dans l’antiquité, on n’est passé de l’hégémonie Egyptienne à celle de la Grèce, de l’hégémonie Grecque à celle de la Rome. Notre temps moderne des le début jusqu’à nos jours est marqué par des conflits constants et continus. Mentionnons les grandes guerres religieuses européennes pour la conquête du tombeau de ‘Jésus’ dit ‘Le Christ’, la conquête des régions gérographiques baltiques de l’Europe par les Mores, la domination méditerranéennne de l’Empire Ottoman. Notre histoire est dominée par des conflits socio-politiques et économiques qui portent encore l’empreint de certains conquérants ou tyrans: les conquêtes de l’Egypte par Alexandre Le Grand, Julius César, puis Napoléon Bonaparte; l’extention des empires: celle de la chine en Asie par Ghenghis Khan, celle de la Russie par Pierre Le Grand; la colonisation Espagnole, Portugaise, Britanique, Française, Germanique, ltalienne, Belgique de l’Amérique, de l’Afrique, de l’Asie et de l’Océanie par les rois et les reines de ces pays. Le 20tn siècle a été témoin de deux guèrres majeures, la première et la deuxième guèrres mondiales, et une troisième guèrre de tension connue sous le vocable de guèrre froide. Nous sommes à cette période postérieure de la guèrre froide, les conflits internationaux n’ont jamais céssé. Un groupe de musulmans endoctrinés et guidés par un leader extrémiste ont accaparé plusieurs avions commerciaux Américains, les utilisant comme armes pour détruire les deux (Twins Towers) Tours Jumeaux de Manathan à New York et sur Le Pantagon, tuant beaucoup de personnes. La réaction du gouvernement Américain était spontanée, deux guerres contre deux pays arabiques: celle de l’Irak (engagée, peut etre sous de faux prétexts) et celle de l’Afghanistan (engagée légitimement pour avoir ébergé le leader imposteur). Alors que les derniers soldats américains ont à peine retourné, une autre guerre provoquée par le président de la Russie se fait encore ravage en Ukraine.

 Les impacts de cette guerre en court se ressentent un peu partout dans le monde. Dans les deux pays rivaux, le nombre de soldats et de civils tués sont énormes. Nombres de jeunes Russes fouttent le camp, se réfugient dans d’autres pays pour ne pas prendre part à cette guèrre truffée d’intrigues dont le but voilé à long terme est peut-être le retablissement de l’empire soviétique. Des soldats Ukrainiens sont tués en grand nombres et des milliers Ukrainiens sont blottis dans des camps sous des nèges d’hiver dans beaucoup de pays avoisinants. Dans ce ‘grand village mondial’, chaque citoyen, citoyenne, tout un chacun, peut import le pays d’origine de cette personne, paie le prix de cette guèrre. Un proverbe aisatique stipule ‘quand un papillon bat ses ailes dans un coin d’un océean, cela peut provoquer un ouragan dans l’autre bout de l’océan.’ C’est clair les prix des produits de consommation sont élevés partout dans le monde à cause de cette guèrre. On vit donc dans l’ouragan de cette guèrre.

 S’il fallait faire un simple bilan sur des impacts des personnes engouffrées dans tous ces conflits (passés, récents, et présents) des dépenses, des richesses pillées, des effets directs et indirects, des calamintés, des abus, des atrocitiés, des désabilités mentales on aurait besoin des années de recherches pour écrire des centaines de volumes. Pouvons-nous encore insinuer uniquement d’expliquer l’élimination forcée de nos semblables par la théorie de l’évolution de Charles Darwin sur ‘l’instinct de survie et d’adaptation’, notre instinct biolologique’ de nous réproduire nous-mêmes en tant qu’espèce unique, notre capacité de maintenir l’équilibre naturel des habitats dans les espaces physiques et géographiques oû nous vivons? La comparaison nous semble absurde et trop horrible en dépit qu’elle eut été le support moral de justification de nombre d’atrocités. Seulement perçu sur cet angle prouverait qu’une simple observation: nous ne sommes nullement différents des autres espèces dans les jungles suivant cette réflexion de Darwin “Quand nous réflechissons sur la bataille (pour la survie ou l’existence), nous consolons nous-mêmes en pleine confience, que la mort (celle des faibles) est généralement prompte, et que le vigoureux, le robuste, et l’heureux survive et se multiplie”2.

 A qui profitent La Mondialisation et les conflits politiques internationaux? Chaque invention technique, technologique, mécanique, idéologique, trouvant sa voie sur le marché d’échange ou de commerce, vient toujours avec son lot de riches et de pauvres. Il y a un vieil adage stipulant ‘les politiciens se connaissent, il n’ y a que les victimes qui ne se connaissent pas.’ En tout conflit, il y a toujours des victimes de part et d’autre du coté des aggresseurs comme du coté des aggressés. La victoire des aggrésseurs se justifie par une sorte de nationalime le plus souvant bafoué; celle des aggressés se justifie par le patriotisme obligé. Nulle part la mort provoquée des victimes n’est justifiée moralement, si ce n’est que la sicatrice dans l’âme des victimes des deux cotés dans la grande famille humaine. Un constat évident se décelle cependant. Nombre des pays et régions géographiques qui ont été impliqués dans beaucoup de ces conflits, ils ont accumulés des richesses énormes, des expériences pratiques et théoriques, des avances économiques, technologiques de cent milles coudées, des expertises de savoir faire en diplomatie et en négociations que ne peut encore attendre aucun de ces nouveaux pays appelés pays en voie de dévéloppement. Que le principe d’Hermès ne prenne pas pour un vieux pied, mais une virtue morale de la patience pour nous autres initiés croyants infallibles dans l’humanité et la fraternité universelle pour apporter la lumiere aux autres. Combattons encore pour la télérence et l’acceptabilité de tous.